Bravitude ou décrépitude

La roche Tharpéenne est proche du Capitole, Ségolène Royal semble l’apprendre à ses dépens. Déifiée par les médias lors de la campagne interne du parti socialiste, elle est actuellement attaquée avec un acharnement jamais égalé. la polémique sur l’expression bravitude en Chine démontre une fois encore la médiocrité des médias. Le manque de pluralisme de la presse est de plus en plus en plus inquiétant les mêmes scénarios de 2002 et du référendum de 2005 se reproduisent. La presse et les médias est aux ordres d’une élite conservatrice Rothschild, les marchands d’armes (Lagardère, Dassault), les rois du BTP ( Bouygues). …..

La presse est de droite et néolibérale. Les journalistes dans un sondage publié en 2006 se classaient à gauche en majorité ! foutaise ! l’espace d’un pluralisme médiatique politique se fait rare . à la télévision, les grandes émission politique ont disparu quelques niaiserie subsistent France Europe express, mots croisés.. Nous  y retrouvons régulièrement de grands " spécialistes "    Alain Minc, J.J. Marseille (annoncé économiste alors qu’il est historien), Jean-Marc Sylvestre annoncé économiste également. une mention particulière doit être décernée à Alexandre Adler expert de tout et n’importe quoi. Adler, éditorialiste cumulard - Le Figaro, France Culture, proche-orient.info, Courrier international, Direct 8, historia… Adler réputé pour ses analyses fines : Chavez "  Un gorille populiste et antisémite "…dans le milieu médiatique français un courant réactionnaire et décliniste domine la pensée intellectuelle. Réactionnaire, car il prône l’idéologie néo-conservatrice et libérale. Décliniste, puisque chaque jour on martèle l’idée que rien ne va plus en France. Les médias alternatifs existent, mais leur audience est faible. Il manque une presse de gauche et engagée, seule l’Humanité, Politis, "le canard" et le Monde diplomatique remplissent ce rôle. Au lieu de se focaliser sur les originalités de langues de Ségolène Royal, les médias devraient s’interroger sur leur décrépitude. Décrépitude de la pensée, de l’analyse. Souci de la rentabilité, souci de plaire à une élite pour conserver les miettes qu’elle lui concède.